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Des problèmes et des solutions citoyennes

Des problèmes à régler

Les problèmes actuels sont criants. Voici une liste des problèmes que nous avons répertoriée en discussion de groupe lors d\’une rencontre ensemble.

  1. Manque d’uniformité des procédures et mauvaise compréhension des acteurs de la Loi P38 ( protection des personnes dont l’état mental présente un danger pour elles-mêmes ou pour autrui)
  2. Droit à la liberté vs droit à la santé
  3. Absence des proches lors du processus de rétablissement
  4. Pas de consultation des proches lors des évaluation de la santé mentale
  5. Pas d’informations sur l’aide à demander pour eux ou leurs proches
  6. Délais d’attentes excessifs d’accès au psychiatre ou à de l’aide psychosociale du réseau de la santé mentale
  7. Manque de ressources en hébergement transitoire, temporaire ou permanent
  8. Manque de financement des organismes d’aide en santé mentale
  9. Manque de communication entre toutes les intervenants, psychiatre et famille
  10. Conséquences sur les proches touchés eux-mêmes par le découragement
  11. Aucun centre régional de crise répondant à la demande
  12. Mauvaise utilisation des pouvoirs des psychiatres sur les demandes de garde en établissement, autorisation de soins et ordonnance de traitements
  13. Manquement des psychiatres dans l’évaluation de l’aptitude à prendre soin d’eux-mêmes avec des sorties précipitées sans suivi et ressource
  14. Ambiance froide et absence d’aide psychosociale dans les départements de psychiatrie
Des solutions pour des changements

Quelques piste de solutions…

  1. Prise de conscience collective et politique, sensibilisation médiatique aux problèmes et application réelle des solutions
  2. Meilleur suivi psychiatrique et psychosocial
  3. Meilleure communication et collaboration entre les intervenants et les proches
  4. Un dossier citoyen Santé accessible sur Internet pour consultation avec gestion des autorisations au dossier
  5. Départements et personnel plus chaleureux et présence d’intervenants favorisant l’acceptation d’être hospitalisé et une meilleure réponse aux soins prodigués
  6. Hospitalisation personnalisée, plus longue et soutenue diminuerait le taux de suicide, le syndrome des portes tournantes et les coûts liés à la santé Brimer temporairement la liberté de la personne touchée afin de lui prodiguer les soins appropriés
  7. Définir plus clairement la dangerosité (p38)
  8. Des centres de crises dans toutes les régions du Québec
  9. Améliorer la confidentialité entre les intervenants  pour un meilleur rétablissement
  10. Intégrer les proches qui agissent avec amour et bienveillance dans les soins et le rétablissement de la personne

 

Quelques chiffres

L\'ampleur

Un Québécois sur cinq sera touché de près ou de loin par la maladie mentale au cours de sa vie.

Les maladies mentales les plus courantes sont la dépression (10 à 15% des gens en souffrent au cours de leur vie), les troubles anxieux et les psychoses.

Au travail

Les troubles anxieux et la dépression figurent parmi les problèmes de santé mentale les plus répandus dans les milieux de travail.

Chaque année, 20 % des travailleurs canadiens souffrent d’une maladie liée au stress. (2001)

Conséquences

  • Baisse de moral et de rendement chez les employés affectés
  • Augmentation du taux d’absentéisme
  • Augmentation des primes d’assurance (coûts d’invalidité qui augmentent suites aux demandes de règlement liées à la maladie mentale, principalement la dépression)

Sécurité publique

En 7 ans, 461 incidents de victimes par forces policières au Canada.

71.8% des victimes de force policière au Québec ont des problèmes de toxicomanie ou santé mentale

 Selon Statistique Canada, la police a environ 1 million de contacts chaque année avec des personnes qui ont des troubles mentaux ou ont consommé des drogues ou de l’alcool. Et selon les experts, ces chiffres augmentent.

Le suicide

Chaque jour, 3 Québécois s’enlèvent la vie.

Les hommes de 45 à 64 ans ressortent de plus en plus comme le groupe ayant le taux de suicide le plus élevé au Québec.

Le suicide demeure un problème majeur de santé publique.

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